Coup d'État en Syrie : Des membres des groupes terroristes entrent à Damas (Vidéos)

By Manlio Dinucci
Global Research

December 19, 2024

Abu Mohammed al-Jolani, today's de facto ruler of Damascus, has an eloquent history: he began his jihadist militancy in al-Qaeda's ranks as an associate of Abu Bakr al-Baghdadi, the "caliph" who founded ISIS, the Islamic State of Iraq and Syria, in 2013. In 2011, during the preparatory phase, al-Baghdadi sent him to Syria with large sums of money for the creation of the al-Nusra Front, a formally autonomous faction but in reality, part of the Islamic State.

par Thierry Meyssan

Avec un aplomb surprenant, la presse internationale nous assure que nous n'assistons pas à un changement militaire de régime en Syrie, mais à une révolution renversant la République arabe syrienne. La présence de l'armée turque et des forces spéciales états-uniennes nous est cachée. On nous abreuve avec une propagande plusieurs fois démentie sur les crimes imputés à « Bachar ».

Discours intégral de Sayed Ali Khamenei, Guide Suprême de la République Islamique d'Iran, sur les récents développements en Syrie, le 11 décembre 2024.

Source : english.khamenei.ir

Traduction : lecridespeuples.substack.com

Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux.

Toutes les louanges sont dues à Dieu, Seigneur des mondes, et que la paix et les salutations soient sur notre Maître et Prophète, Abul Qasim al-Mustafa Muhammad, ainsi que sur sa descendance pure et choisie, en particulier le légat de Dieu sur terre (l'Imam Mahdi occulté).

Par Guido Olimpio

Source : Guido Olimpio & ariannaeditrice.it

C'est une information qui refait surface, cette fois dans le Washington Post: Kiev aurait apporté une aide directe aux rebelles syriens en leur fournissant des drones utilisés lors des premiers assauts. Une contribution "limitée", écrit David Ignatius, un commentateur bien informé, mais qui confirmerait une stratégie annoncée depuis plus d'un an par l'Ukraine.

Pepe Escobar

¿Se levantará el Occidente colectivo para defender a los cristianos sirios que quedan cuando las Banderas Negras vengan a purgarlos?

Escríbenos: infostrategic-culture.su

El modus operandi estándar del Hegemón es siempre Divide y vencerás. Acorralados por el inexorable ascenso de la realidad multinodal (la cursiva es mía), vieron una apertura para un reinicio imperial, apostándolo todo a establecer el "Gran Oriente Medio" esbozado todavía durante la era Cheney.

Raphael Machado

Syria has become a geopolitical fracture zone, where the clash of global and regional powers' interests has not led to the maintenance of a "balance of power" but has instead suddenly destabilized the entire Middle Eastern landscape.

At the beginning of 2024, no one would have bet that by the end of the year, Bashar Al-Assad's government would fall, and Syria would be overtaken by Wahhabi terrorist organizations.

Par DR Bachar al-Assad

Alors que le terrorisme se propageait en Syrie et atteignait finalement la capitale, Damas, dans la soirée du samedi 7 décembre 2024, des questions ont commencé à se poser sur mon sort et ma localisation. Cela se déroulait dans un torrent de désinformation et de récits déformés, qui tentaient de présenter le terrorisme international comme une révolution de libération pour la Syrie.

Journal dde.crisis de Philippe Grasset  

16 décembre 2024 (09H00) – Que faire devant le sort de la Syrie ? Moi qui suis si ennemi des épanchements et des émotions, ce seul mot pourtant qui me vient à l'esprit : pleurer. Le gâchis, l'horreur du désordre, la fureur de l'anarchie et de la désintégration des formes, de la pulvérisation des structures, de la transformation des rapports humains en néants diversd de cruauté aveugle.

Source: Gettyimages.ru

Les groupes armés opposés à Bachar el-Assad, menés par Hayat Tahrir al-Cham (HTS), prennent le contrôle de la ville de Hama.

15 déc. 2024, 13:44

Washington maintient un contact direct avec le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS) qui a joué un rôle clé dans le renversement du gouvernement du président Bachar el-Assad en Syrie, a déclaré le secrétaire d'État américain Antony Blinken lors d'une conférence de presse à Aqaba, en Jordanie, le 14 décembre.

Martin Jay

I media occidentali non saranno più in grado di ignorare il fatto che il West bankrolls i terroristi più raccapriccianti e orribili del mondo.

Nel 2016, Steven Bannon mi ha intervistato sul Medio Oriente per il suo popolarissimo talk show radiofonico. Il tipo di domande che mi fece dimostrò chiaramente che conosceva davvero poco la regione. Ma Bannon è intelligente.

Dans un entretien avec JSF-TV, Thierry Meyssan explique comment les Forces spéciales US, les fantassins turcs et l'armée de l'Air israélienne ont, ensemble, détruit la République arabe syrienne.

 La Syrie de Bachar est tombée. Qui sera le suivant ? Avec Thierry Meyssan.

voltairenet.org

News Brief

Regime Change as a Weapon  

Robert Inlakesh  

On the heels of the toppling of the Bashar al-Assad government in Damascus, the United States has directed the emerging transitional order toward a neoliberal economic framework, coupled with efforts to normalize relations with Israel. Through a combination of sanctions, terrorist designations, and strategic foreign aid, U.S.

American interference, at the behest of Netanyahu's far-right Israel, has left the Middle East in ruins, with over a million dead and open wars raging in Libya, Sudan, Somalia, Lebanon, Syria, and Palestine, and with Iran on the brink of a nuclear arsenal.

By Jeffrey D. SACHS

In the famous lines of Tacitus, Roman historian, "To ravage, to slaughter, to usurp under false titles, they call empire; and where they make a desert, they call it peace."

Par Marc Vandepitte

Personne n'avait prévu la chute d'Assad, encore moins qu'elle se produirait aussi rapidement. Plusieurs facteurs expliquent la rapidité avec laquelle le pays a été submergé :

Isolement

Ces dernières années, les Syriens se sont presque unanimement retournés contre le président Assad. En raison des sanctions économiques strictes et illégales sur le plan international imposées par l'Occident, l'économie s'est effondrée, laissant une grande partie de la population dans la pauvreté.

Par Manlio Dinucci

Abou Mohammed al-Jolani, qui de fait détient aujourd'hui le pouvoir à Damas, a une histoire éloquente : il commence sa militance jihadiste dans les rangs d'al-Qaeda comme collaborateur d'Abou Bakr al-Baghdadi, le "calife" qui en 2013 fonde l'ISIS, l'"Etat Islamique de l'Irak et de la Syrie". En 2011, pendant la phase préparatoire, al-Baghdadi l'envoie en Syrie avec des fonds importants pour créer le Front al-Nosra, faction formellement autonome mais en réalité appartenant à l'État Islamique.

par Thierry Bertrand

Le premier partage de la Syrie s'est accompli. Son principal bénéficiaire s'est avéré être le président turc Recep Tayyip Erdogan, pour qui c'est un pas de plus vers la restauration du grand projet ottoman.

Cependant, la partition de la Syrie signifie beaucoup plus. Elle montre que le monde fondé sur le principe de l'inviolabilité des frontières est révolu, que les grandes puissances utilisent à nouveau la force et que tous les principes sur lesquels les démocraties occidentales tentaient de construire l'ordre mondial ces 30 dernières années ont subi un échec retentissant.

par Jeffrey Sachs

L'ingérence américaine, à la demande d'Israël d'extrême droite de Netanyahou, a laissé le Moyen-Orient en ruines, avec plus d'un million de morts et des guerres ouvertes faisant rage en Libye, au Soudan, en Somalie, au Liban, en Syrie et en Palestine, et avec l'Iran au bord d'un arsenal nucléaire.

 Comment les États-Unis et Israël ont détruit la Syrie et appelé ça la paix

source : Jeffrey Sachs via  Comment les États-Unis et Israël ont détruit la Syrie et appelé ça la paix

Martin Jay

How is it possible that the western-supported jihadists in control of Damascus have a chief who is on a wanted list in the U.S. for being a terrorist?

Western politicians are working double time to pull the wool over the eyes of a gullible public who are dazed and confused about the overthrow of the Assad regime, as some more astute members of the public might question how it is possible that the jihadists in control now of Damascus were not only paid by U.S.